Les protéagineux : Ils possèdent au moins 20% de protéines mais peu de lipides donc ils ne peuvent faire de l’huile nous commenceront par la vedette des années cinquante le pois fourrager.
Il peut se consommer comme le pois ordinaire mais ses fleurs ne sont pas forcements blancs. Il peut se cultiver seul avec un rendement de 30 a 50 quintaux hectares ou mieux en association avec une céréale. La céréale, autrefois le blé servait de tuteur au pois et faisait concurrence aux adventices (mauvaises herbes) de plus le pois donnait de l’azote a la céréale.
A surface égale l’association céréale/ pois donne un meilleur rendement que les cultures séparées et ceci a moindre frais. Le blé tendre était la céréale associée durant les années cinquante mais la tige des variétés modernes est trop petite ce qui explique que pour les cultures de ventes l’association Blé dur pois fourrager est effectuée dans la région Midi Pyrénées, le pois diminue le mitadinage consistant a des parties trop farineuse et inapte a la production de semoule du a un manque d’azote. L’inconvénient majeur est le triage des graines après la récolte. Blé dur pour la semoule de couscous, pois fourrager pour les animaux. Pourquoi pas des pois cassés, pourrait dire l’amie Fabienne avec son grand sens pratique et critique. (l’alimentation principalement) et bien le pois chiche se tient tout seul et il est plus petit que le blé dur.
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Pour l’alimentation animale le triticale, le seigle et l’avoine sont préférés et deux modes de récoltes sont possibles.
- L’ensilage qui dans bien des cas est supérieur à l’ensilage de maïs sur le plan quantitatif et dans tous les cas supérieur sur le plan qualitatif, autrement dit supprime ou diminue le soja importé.
- Récolte classique en grains, le pois « colle » très bien au cycle du blé, semé en même temps récolté de même. Il existe des variétés de printemps et des variétés d’hiver. Avec n’importe quelle céréale sauf maïs quelle soir d’hiver ou de printemps car il existe des pois d’hiver ou pois de printemps.
- Le triticale : croisement du blé et du seigle, ce croisement existe depuis longtemps et n »a rien d’OGM, il est plus rustique que le blé et plus productif que le seigle, ce qio caractérise cette céréale est la hauteur de la tige (largement plus d’un mètre cinquante) ce qui est intéressant en cas d’utilisation de la paille pour la construction, pour la litiére voir pour la méthanisation. Le triticale a plusieurs usages dont celui de tuteur pour les pois fourragers.
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L’avoine ci dessus : Pois fourrager, triticale, avoine est le tiercé
gagnant en agriculture biologique, aussi bien en ensilage qu’en récolte en grains.
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