ET SI L’EFFET DE SERRE N’EXISTAIT PAS ? *


* Il existe bien sur, nous voulions dire a l’époque, le réchauffement climatique du a l’effet de serre.

Nous pourrions nous dire, pourquoi adopter ces mesures contraignantes si nous les prenons le monde sera de toute façon plus stable et  surtout plus durable. Nous serons matériellement moins riches mais plus riches en espaces verts, en silence dans un monde moins pollué. Mais nous pensons que l’effet de serre si toutefois si celui-ci est prouvé n’est pas la cause du dérèglement de la biosphère  mais un symptôme, mais en soignant les symptômes nous attaquons le cœur des causes car avec ou sans « l’effet de serre » une humanité où la population, la consommation d’énergie, le pillage des forêts  avec l’avancée des déserts est une humanité qui aura des problèmes majeurs pour sa survie dans les prochaines décennies. 

Le percement de la couche d’ozone est un problème différent car l’excès de rayons  ultra violet en plus de l’augmentation  des risques de cancers diminue la productivité des micro-organismes de l’eau et du sol mais heureusement la riposte à la diminution  est plus ciblée, plus technique.

Nous pensons qu’il ne faut pas se polariser sur le fameux « effet de serre » d’autant plus que la mode était jusqu’au milieu des années 1980 au refroidissement  qui n’a pas eu lieu, imaginons deux été pluvieux et « l’effet de serre » aura disparu des médias et par conséquent la nécessité de lutter contre lui  en conclusion « l’effet de serre » est peut être une hypothèse fausse, mais la lutte contre le réchauffement débouche sur des bonnes solutions et ce n’est pas la première fois dans l’étude complexe de la nature. Lyssenko fit des découvertes intéressantes (vernalisation  artificielle ce qui lui permit de créer les blés de printemps) et ceci en partant d’hypothèses fausses comme la remise en cause des lois de Mendel et de la génétique en général.

Ces quelques réflexions sur les rejets de gaz carbonique amène d’autres questions comme celles concernant l’énergie.

 

Quelques remarques sur Lyssenko.

Trofim Denissovich Lyssenko. 1898-1976

A repris la technique de la vernalisation c'est-à-dire la technique permettant de semer des blés d’hiver au printemps en les soumettant a des températures basses sous une atmosphère humide.

Ainsi il a permis la culture du blé dans des régions a hivers froids ou cette culture était aléatoire. Il a alors prétendu que l’hérédité n’existait pas et que l’homme pouvait créer n’importe quelle variété. Néanmoins il a pris sa technique de vernalisation à un américain que ce celui-ci avait découvert  au milieu du XIX éme siècle.

Autres exemples :

L’agriculture biologique d’après certains n’est pas meilleure pour la santé car la composition est la même. Il ne faut pas regarder alors les résidus de pesticides et de toute façons l’impact sur l’environnement est beaucoup moins important que celui de  l’agriculture classique.

Il est de même en ce qui concerne le gaz carbonique, en diminuants les rejets cela restera     plus de temps pour la transition énergétique.

Mais regardons les faits.

En 1900               300 ppm (parties par millions)

En 1975               330 ppm

En 1995              360 ppm

En 2010              380 ppm

Nous constatons un emballement de la teneur en gaz carbonique mais si les gaz a effet de serre n’existait pas la température moyenne de la terre serait de -18°c au lieu de +15°c. Heureusement la hausse de température n’est pas corrélée avec la hausse inquiétante du gaz carbonique. Pour savoir ce que cela donnerait il faudrait rejeter durant deux siècles puis arrêter le siècle suivant pendant deux siècles et recommencer plusieurs fois nous aurons alors une preuve scientifique valable et donnant les mêmes résultats. Impossible bien sur.

En l’absence de preuves mais en présence de fortes présomptions  il est plus sage de réduire   les rejets de gaz carbonique provenant des combustibles fossiles.

Mais pour  autant et parallèlement il ne faut pas négliger la lutte contre la déforestation. La compensation carbone n’est pas une mauvaise idée et de toutes façons il va falloir s’habituer a la « fiscalité carbone » c'est-à-dire la quantité de carbone sous forme d’origine fossile mais aussi sous forme de forets  détruites ainsi des produits comme du soja brésilien, l’huile de Palme seront très fortement taxés, mais ce ne sera pas simple car il faudra distinguer l’huile de palme venant après une culture (taxe moyenne due en partie au transport)  et l’ huile de palme venant après la destruction de la forêt tropicale (taxe plusieurs fois supérieure a celle du charbon).

Possibilité de payer en partie les taxes carbones sous forme de parcelles de forêts gérées de façon durable.

Dans le chapitre des forêts nous nous félicitons du score de la bien nommée Marina Sylva la candidate écologiste brésilienne qui a fait reculer quelques années auparavant la déforestation. Sylve : forêt Sylva : la même chose en latin.

Et si c’était l’ozone ?.     

C’est une hypothèse mais l’ozone bien que présent a 10% dans les gaz a effet de serre a la particularité de se présenter sous deux formes.

-forme diffuse prés du sol provenant de diverses pollutions.

-dans la haute atmosphère sous forme de couche, qui ainsi renvoie les infrarouges  vers le solet les ultraviolets vers l’espace. Nous pouvons faire une analogie avec la couche argentée des doubles vitrages actuels.

Le revetement invisible a l'oeil nu rend le double vitrage deux fois plus isolant, 

La couche d'ozone a une largeur de dix kilométres d'atomes d'ozone trés resserés.

Le "trou" dans la couche d'ozone provoquée par les hydrofluocarbures eux mêmes puissants gaz a effet de serre est un autre probléme, il a été souvent confondu avec l"effet de serre

C’est cette « couche » qui rendrait  la température très favorable a la vie, le gaz carbonique étant  d'une moindre importance pour l’effet de serre.

Néanmoins l’augmentation pharamineuse de gaz carbonique de  ces dernières décennies ne sera pas sans conséquences.

-Au mieux il est un symptôme du dérèglement de la biosphère.   

Il faut agir sur les causes

-Au pire la teneur de 600 ppm ne doublera pas la température moyenne de la terre mais peut l’augmenter de quelques degrés jusqu'à cinq ou six. Ce qui n’est pas grave sur quelques milliers d’années, mais catastrophique sur quelques dizaines d’années.

Il faut agir sur les causes.

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