« Par contre » Dit Cécile ?.
« Par contre Marie mange a tous les râteliers elle a une amante et des amants Annabelle n’en veut pas de permanent, la plupart des affaires de jalousie c’est Marie »
Cécile décida de passer rapidement à l’attaque. Avant que marie ne finisse de monter.
« Vous avez parlé de perma économie qu’elle est le rapport entre les deux termes. »
Marie ressemblait à l’artiste Laetitia Casta elle était habillée aussi d’une courte robe à fleur une concurrente sérieuse.
« D’abord tu peux me tutoyer même si je suis la banquière du Pradelou perma comme permanent non pas pour la nature mais l’environnement c’est une économie qui préserve la vie »
Marie traça trois cercles au tableau noir et avec les craies de couleur instruments que Cécile pensaient relégués au passé. Comme si elle avait deviné les interrogations Marie dit :
« J’ai aussi un Powerpoint mais ici nous sommes en plein air. »
« A chaque achat à l’extérieur nous devons avoir ce schéma en tête et chaque objet doit rentrer dans les cases sinon il y aura des compensations.
Nous examinons d’abord la fabrication : Quel impact sur l’environnement, quels quantités de métaux sont-ils facilement recyclables, quel énergie dépensée par rapport au poids du produits. Cela est-il une occasion si elle est vieille l’objet obtiendra la note maximal soit 10.
Cette objet facilite-t-il la vie ou est-il inutile. Ou a-t-il été produit ? A qu’elle distance dans quelles conditions de travail. Avec une note de 1 à 10.
La fabrication et l’utilisation de l’objet facilite-t-il le partage marque-il ou favorise-t-ils la vie des hommes. Quels sont les conditions sociales du pays de production les ouvriers sont-ils des demi-esclaves. La note est aussi de 1 à 10.
Nous allons prendre quelques exemples.
Un exemple à moins de dix : Le pantalon produit en Ethiopie.
Au niveau de la production que cela soit au niveau de la production de coton demandant beaucoup de pesticides. Au niveau de la transformation demandant beaucoup de produits chimiques qui se retrouvent dans la nature cat il y a très peu de lois sur l’environnement en Afrique ceci pour les externalités au niveau de l’environnement.
Les impacts humains sont totalement négatifs les ouvriers ont des conditions de travail déplorables et de plus ils gagnent l’équivalent d’un dollar par jour soit la moitié du seuil de pauvreté mondial.
Les dirigeants gagnent plein d’argent qu’il cache au plus vite dans des paradis fiscaux. D’ailleurs les 10% les plus riches payent autant d’impôts que les plus pauvres.
Le monde des multinationales est non seulement un monde de prédateur mais un monde de tueurs la meilleure façon de rendre inoffensive une multinationale est de ne rien acheter. Il est évident aussi que les vêtements sont indispensables et c’est pour cela que le pantalon ne reste pas au triple zéro il rend service.
Mais cet usage peut être obtenu par des vêtements de seconde main et les adresses sont de plus en plus nombreuses. Nous avons Emmaüs le Secours populaires, les vides greniers dont certains sont permanents. Des boutiques de dons.
A un niveau collectif nous pouvons fabriquer nos vêtements nous-même, nous avons plusieurs sources : le lin, le chanvre , l’ortie et la laine. Au pradelou en collaboration avec deux petits villages nous avons une petite unité de fabrique à base de chanvre ce dernier demande peu de produits pour la transformation : savon, bicarcarbonate de soude, vinaigre de façon à rendre les tissus moins rêches.
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