ENERGIE 1 : A CES ECOLOGISTES

 

Voici dans le domaine des idées reçues l’une des plus anciennes en ce qui concerne les écologistes. Mais remarquons que la production d’huile demande de l’énergie. Pour un éclairage équivalent il n’est pas sur que le bilan de la lampe a huile soit positif par rapport a notre lampe a incandescence pourtant bien dispendieuse en énergie. (a éclairage égal)

Par rapport aux autres utilisations ; chauffage, industrie, habitations, électroménagers divers les besoins en éclairage d’une habitation moyenne sont peu importants deux ou trois kilowatts par jour pour être bien éclairés.

Autrement dit au plan national la production des barrages seraient largement suffisante pour la consommation électrique de l’éclairage individuel.

A l’échelon individuel une petite éolienne de250 a 500 watts y suffirait ainsi que deux ou trois mètres carrés de photopiles. De plus d’autres procédés dont le néon est le plus connu permettent de diviser par deux ou trois la quantité d’énergie nécessaire. Cet argument est incohérent car l’éclairage sera une des dernières choses à manquer, cet argument est destiné a combattre les idées anti-nucléaires des écologistes.

 

L’éclairage domestique représente 14% de la consommation d’électricité hors chauffage et eau chaude sanitaire, 3% en cas de présence de production d’eau chaude électrique, en cas de maison isolée une batterie une minuscule éolienne a axe verticale présentant l’avantage d’être intégrée sur le bâtiment voir sur une cheminée et de plus être silencieuse. Voici quelques exemples du petit éolien. Surtout a axe vertical  plus silencieux.

 

 

 

 

Les ampoules a économies d’énergie. C’est en fait le fameux néon, mais prenant plusieurs formes. L’idée est séduisante mais les inconvénients ne sont pas négligeables. D’après notre expérience, l’ampoule met longtemps à s’allumer, elle dure moins longtemps qu’une ampoule classique, et de plus le recyclage semble plus compliqué étant donné qu’il y a du mercure, de . Pour nuancer cela disons que les ampoules fluo compacts chinoises (fabriquée a base d’électricité a l’aide du charbon) n’aiment pas les télé rupteurs, de plus elles émettent un champ magnétique, nous ne somme pas convaincu par ce type d’ampoule,. Autant rester avec notre vieux néon avec un starter quand cela est possible, ou bien des petites lampes de bureau quand toute la pièce n’a pas besoin d’être éclairée, ou encore commencer a s’équiper d’ampoules a led, (diode electro luminescente) pas encore tout a fait au point mais très prometteuses sinon il va exister une nouvelle affirmation : « A ces écologistes leurs ampoules, quelles saloperies »

Avant de faire quelques remarques sur quelques indicateurs de développement durable voici quelques réflexions sur l’éclairage public. D’après le site actu/environnement (intéressant) l’éclairage public consomme en moyenne le quart du budget d’une commune, c’est beaucoup, il ne fait jamais nuit et ce n’est pas bon pour la biodiversité. D’après un exemple cité dans le même site situé ci-dessus le fait de remplacer les luminaires boules qui éclairent le ciel par d’autres types a fait gagner 1,3 millions d’Euros par an à la ville de Lille.

Nous remarquons qu’à raison de 20.000 Euros pour un emploi annuel nous pouvons avoir 65 emplois supplémentaires financés par les économies, c’est bien pour une grande ville. Il est évident que l’éclairage public peut subir des coupures de minuit à cinq heures du matin, qu’il est possible d’installer des détecteurs de présence qui ne s’allument qu’en cas de circulation, il est évident que cet éclairage peut être déclenché par les passant comme une minuterie.

D’autre part, les lampadaires avec une petite éolienne et des panneaux photovoltaïque fonctionnant avec des lampes LED plusieurs fois plus économe que les lampes fluo compacts .Il faut préciser qu’une ampoule classique fournit 95% de chaleur et 5% d’éclairage, une ampoule fluo compact 80% de chaleur 20% pour l’éclairage, l’ampoule LED l’énergie est en majorité pour l’éclairage .Dans ces conditions les énergies renouvelables s’imposent, elles peuvent être financées par les économies et générer ainsi des emplois indirects.

Lampadaire avec une  petite eolienne et une petite surface de panneaux photovoltaïque


Quelques remarques sur les indicateurs.

L’indicateur « valeur carbone » a condition de prendre en compte aussi la destruction des puits de carbone (forêt) est un bon indicateur même si le réchauffement climatique anthropique n’est pas prouvé.

Mais il ne doit pas être le seul, l’indicateur « Biodiversité »est aussi important en effet même si la valeur carbone est la même une monoculture d’Eucalyptus et une forêt tropicale vierge ce n’est pas la même chose.

Un autre indicateur est a prendre en compte est celui de la « pollution » a rejet de gaz carbonique égaux une voiture construite il y a trente ans était plus polluante. Une ampoule fluo compacte induit une pollution bien supérieure a une ampoule classique (mercure et champ electro magnétique)

L’énergie grise : Il s’agit de l’énergie nécessaire à la fabrication d’un produit, par exemple la fabrication d’une voiture consomme l’équivalent de trente mille kilomètres. Parfois il est nécessaire de suivre toute la filière ainsi les « petits malins » vantant les mérites des parpaings soit disants « verts » car ils consomment peu d’énergie. En effet il suffit de mélanger le sable, le gravier, et le ciment puis a le mettre dans des moules. Le ciment lui par contre est très énergétivore et un grand émetteur de gaz a effet de serre,mais il est déjà fabriqué avant la fabrication de parpaings.

Citons enfin les « indicateurs sociaux » que nous verrons plus tard.

 

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