C’est un état difficile à obtenir et elle se rencontre à l’état naturel dans des peuplades très proches de la nature, ces populations sont intégrées dans les chaînes alimentaires et dans les milieux naturels. Dans ces peuplades très proche de la nature et de faible densité de population nous citerons : les indiens avant la découverte de l’Amérique, les indiens de la forêt Amazonienne, les pygmées et les indigènes australiens.
Régulation des populations, cueillettes, chasse, il y a peu d’impact sur le milieu naturel parmi ces survivants de la préhistoire. Ils consomment quelques bêtes quelques arbres, quelques bêtes, quelques baies et quelques graminées sauvages, ils ne connaissent pas la famine, ils travaillent de trois a quatre heures par jour, le reste du temps se passe en jeux, danses et en créations. Ces peuples sont également d’astucieux bricoleurs, ils connaissent également des remèdes et des poisons, ainsi que quelques drogues dont l’alcool fabriqué a l’aide de quelques drogues dont l’alcool fabriqué a l’aide de différentes substances fermentées.
Le bambou avec des flèches au curare permet de moins se fatiguer, peu de désirs, peu d’esprit de possession et surtout dés que le terrain de chasse baissait en quantité les indigènes déménageaient. Ces civilisations reliques ont toujours une certaine forme de sagesse.
Ils ne connaissent que leur forêt mais a fond, il est évident que ce mode de vie n’est plus transposable au monde actuel déjà plusieurs dizaines de fois trop nombreux, mais ces populations doivent être sauvegardées, en premier lieu parc qu’elles existent et en deuxième lieu pour leur manière de voir le monde.
Leur philosophie est la suivante.
-Le strict nécessaire pour se nourrir, se chauffer avec le moins d’énergie possible (énergie humaine et ressources naturelles). Le reste est consacré aux loisirs ; sculpture, peinture décorations diverses. Ces populations nous montrent aussi comment vivre le mieux possible avec de faibles ressources.
Il existe également quelques sociétés néolithiques reliques ainsi que quelques restitutions dues au patient travaux des archéologues ; ce sont les premières maisons en bois et en torchis , des silos a blé avec de l’argile, c’est aussi le début de la sélection animale et végétale ; la encore nous trouvons une grande variété d’occupations. Une vie au la meilleure possible avec le minimum. Ce mode de vie néolithique est aussi une adaptation a des climats moins propices que les forêts équatoriales, l’hiver entraîne la nécessité de se chauffer et de faire des ressources.
Mais déjà le désir du « toujours plus » naissait. C’est la naissance des grandes civilisations et en particulier celles des romains, nous assistons a la naissance de l’impérialisme et de l’esclavagisme. Nos ancêtres les gaulois faisaient figure de sages et seraient restés tranquille dans leurs terres si le « toujours plus de pouvoir » ne les avaient dérangés. « Toujours plus de pouvoirs » et « toujours plus d’argent » sont les deux mamelles de la civilisation moderne.
2011
Les hommes politiques sont dépassés certains font même penser a des dinosaures tel l’actuel président de la république. Il est évident que les services publics doivent être au centre des sociétés quoiqu’en pensent les agences de notation, le bien être des hommes doit être le centre de la politique. Ainsi une réflexion doit avoir lieu et une nouvelle philosophie émerger, car l’épuisement des ressources va devenir de plus en plus présent comment faire ?.
Nous proposons une activation des idées comme le propose l’excellent magazine « l’age de faire » (seulement 1 euro) a savoir : quelle société en 2050 ? Il est évident que le pétrole sera probablement épuisé ou bien très cher, les centrales nucléaires fermées, le climat peut être déréglé. Que faire des maintenant ? Les groupes de paroles doivent devenir peu a peu groupe d’action après la synthèse des idées, avec aide de l’aide de l’état qui prend acte. D’autres groupes doivent également naître, la parole et les idées grandement libérées. Comment remettre au cœur des sociétés les services publics, malgré la triple crise : Economique, Ecologique et Sociale. Manifestement le libéralisme économique n’est pas la solution au contraire il conduit au chaos.
Autres thèmes possibles :
- La relocalisation qui est semblable a la demondialisation.
- Comment produire l’énergie localement et à quel niveau, commune, canton département.
- Etc
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