Axe 4 : Protéger/ Prendre soin des biens communs
Les biens communs sont l’air, l’eau, la terre en fait ce sont ces biens l’économie libérale n’en a rien a faire sauf si cela rapporte comme l’eau par exemple, mais cela peut être des services publiques par exemple ou du patrimoine bâti. Qui dit bien commun dit gestion en commun, ainsi il est totalement anormal que l’eau soit privatisée elle est d’ailleurs beaucoup moins chère quand elle est exploitée par les communes. Pour l’heure nous pensons que ces biens des lors qu’ils sont exploités voir surexploités ne doivent pas être gratuits.
L’air est un bien commun et même un bien mondial, il semble juste de compter les externalités c'est-à-dire toute les atteintes a sa composition, il en est ainsi de la pollution mais aussi de l’augmentation provoquée par l’ homme du gaz carbonique. Le gaz carbonique n’est pas un polluant au contraire car sans lui les conditions climatiques seraient incompatible avec la vie néanmoins son augmentation trop rapide provoque un changement climatique trop rapide lui aussi c’est pour cela que les taxes carbone sont indispensables et la plantation de forêts ou de prairies doivent être par conséquent subventionnées, le carbone comme étalon monétaire doit rentrer dans une économie nationale du quatrième type en partant d’une économie semi administrée de type Keynésienne . Une économie trop administrée briserait l’intelligence collective, une économie libérale comme actuellement sème le mal être car l’économie n’est plus au service de l’homme mais l’homme au service de l’économie pour le grand malheur de la planète.
L’eau : les atteintes a l’eau doivent elles aussi comptabilisées, exemple les nitrates dans l’eau dont l’épandage d’engrais azotés, l’élevage sur lisier, les mauvaises pratiques agricoles. Ainsi que les pollutions diverses.
La, terre : Une vieille idéz de René Dumont durant la présidentielle de 1974 proposait que les terres soient municipalisées. Le plus souvent elles sont revendues a des promoteurs ne serait-il pas possible de faire des locations a 99 ans a faible coût avec des maisons en matériaux entièrement renouvelables (paille, terre, bois avec toit végétalisé pouvant abrité un potager). A terme se posera le problème des pavillons de banlieue avec le manque de carburant ils deviendrons biens communs et certains abriterons des activités.
Les terres municipalisées à proximité villes serviront pour des jardins municipaux et les jardins ouvriers. Se posera aussi le problème du petit élevage.
Les biens communs étaient courant au moyen age suivant les comtés : Il s’agissait de pâturage ou tous pouvaient faire paître les animaux, des moulins, des fours a pain.
Le bâtit : Il est bon pour des raisons de prix du loyer, d’isolation, de pénurie de logement qs’il y ai de plus en plus de logements dans les biens communs, nous pouvons citer l’exemple du fond de retraite Danois possédé par l’Etat constitué d’appartements en location et qui n’a rien perdu durant la crise contrairement a la France dont les fonds avaient été placé dans des « produits financiers » , l’idée Danoise consistant a allier les fonds de réserve des retraite et le logement est une très bonne idée. Gratuité des logements pour les plus demumits bonne idée mais doit exister dans ce cas un délit de « dégradation de biens communs » ces logements ne doivent pas être des « logements sociaux » transformés en « bidonville » par « les pauvres ». Il serait bon que les futurs habitants participent a la rénovation.
L’Air est un bien commun non encore privatisé et commercialisé mais c’est une idée qui court dans des endroits pollués.
Nous pouvons citer aussi également des acquis sociaux qui doivent être protégés éventuellement avec l’aide de monnaie locale, citons comme la sécurité sociale, le Statut des fonctionnaires, la poste, la Retraite par répartition même si pour cela nous devons sortir de l’Europe.
Reste les services rendus par les entreprises nationalisées comme la SNCF et l’EDF qui peuvent être considérés comme bien commun a tel point que l’EDF par exemple demande un abonnement ce qui rends chacun des abonnés un peu propriétaire de l’entreprise, en effet il aurait été possible de ne payer que les consommations. La privatisation de l’EDF est des lors un hold-up d’état et la vente d’une partie d’EDF a des actionnaires est complètement anormale, néanmoins il serait normal que les usagers aient la parole et une partie de la gouvernance et qu’ils puissent par exemple prendre une ou plusieurs participations dans une éolienne. Dans tous les cas en tant que bien commun une ouverture à une forme participative est nécessaire pour ne pas être privatisé.
Nous pouvons imaginer également des transport en communs gratuits financés par des taxes
L’eau, l’air, les ressources naturelles doivent être des biens communs, les progrès sociaux les entreprises nationalisées doivent le rester, la vente et l’entrée en bourse d’entreprise nationalisée est un scandale.
La sécurité sociale est aussi un bien commun fortement menacé par le libéralisme et le productivisme. Cela pose le problème de la gratuité il s’avère que le système de santé Cubain entièrement gratuit est plus efficace (7% du PIB Cubain pas très élevé) que le système américain (15% du PIB américain pourtant considérable). La gratuité pour combler les déficits ? . A expérimenter pour différents secteurs ou jusqu'à un certain seuil. Exemples :
-, Carte gratuite mobilité pour 3000 kilomètres de trajets en transport en commun ou petit véhicule électrique.
- Cinquante a deux cents kilowatts par mois d’électricité gratuite suivant la construction d’énergie renouvelable.
- Trois kilogrammes de légumes bio par mois etc . Cette gratuité encadrée et limitée peut a terme créer des biens communs.
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