Article 9

 

 

 

Oui mais comment les comptabiliser ?.

Une des manières peut être de donner un prix au carbone et ceci de deux manières différentes

  • En mesurant la perte subie : Par exemple pour le soja nous pouvons inclure la déforestation plus la perte subie chaque année par le gaz carbonique qui n’est pas fixé. Sachant qu’une forêt tropicale c’est 450 tonnes a l’hectare si le prix est de 100 euros la tonne cela fait 45000 de taxe pour trente tonnes de soja au départ et de 450 en temps ordinaire. Cela rends impossible les importations. Sauf à faire de l’agroforesterie et de l’agro écologie.
  • Les transports doivent être aussi taxés en fonction de l’énergie émise. Un transport de marchandise doit subir aussi la taxe kilométrique qui rendra non rentable l’achat de porc Allemand et encore du porc français qui viendra se faire abattre en Allemagne pour ensuite retourner en france.

.- En mesurant en positif les gains : Comme par exemple la reforestation la diminution du nombre EQF équivalent Fuel qui se chiffre jusqu’à 1000 litres hectares dans des modèles intensifs et non durables. L’agro écologie est a moins de 200 la permaculture arrive à produire de l’énergie.

Soustraire le chômage du PIB : C’est normal puisque à l’ origine le travail était lui aussi une valeur ajoutée ainsi que la dépense publique en moins. Les disfonctionnements de l‘hôpital font que de plus en plus en Europe on meurt d’austérité.

La délinquance doit elle aussi être soustraite du PIB (en comparaison aux années soixante)

Le stress les maladies de civilisation

Les intérêts de la dette aussi étant donné que l’on  pouvait faire autrement.

En soustrayant cela nous constaterons la perte de civilisation et d’humanité et que les adeptes de la décroissance font en réalité de la croissance : pas de chômage, aggradation du milieu naturel plutôt que dégradation. Moins de pollution de réchauffement climatique etc.

Quelle monnaie au final ?

L’euro en tant que monnaie unique est une catastrophe et j’aurais dû voter contre, c’est un de mes regrets car en réalité avec l’Euro les élections sont une vaste blague gauche ou droite la politique ne se fait plus en France c’est l’Europe qui la fait. L’Euro pourrait faire par contre une excellente monnaie commune avec une parité   avec les monnaies locales.

Les monnaies locales :  

Elles doivent être soustraites de toute spéculation et de tous intérêts elles sont alors inaccessible a la finance et ne servent qu’à échanger elles se font en parité avec  l’euro  un euro = une unité de monnaie locale. avec une quantité d’argent égal

Le retour à la monnaie nationale : Celui-ci serait catastrophique d’après certains économistes qui en réalité ne font que se tromper. heureusement qu’il y a François Asselineau car jusqu’à présent cette idée à mon sens essentielle n’était portée que par Marine le Pen autrement le parti le plus démagogique hélas !.

A mon sens le retour à une monnaie nationale ne peut se faire qu’en reprenant notre création monétaire soit par l’état soit par des entités plus petites : régions comme autrefois certains états américains.  .

Pourquoi ce ne serait pas si catastrophique que cela ?. Si nous prenons la période 1959-1973 ou la banque de France était sous la responsabilité du premier ministre et du président de la république créait sa monnaie et prêtait celle-ci aux banques ou au trésor public qui remboursait en évitant de faire des dettes.

D’après les économistes libéraux la création monétaire par l’état entrainera forcement  une forte inflation qui n’a pas eu lieu au cours des années 60 le budget était même en excèdent et chaque franc créé servait a quelque chose et non à faire de la « monnaie de singe » selon les mots de De Gaulle .  

Il faudra auparavant rétablir le contrôle des changes et séparer les banques de dépôt et les banques d’affaires.

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