La tourbière 9.

 

1ER Principe : Principe d’autonomie : un écosystème comme une mare ancienne ou une forêt est un système autonome car il y assez peu d’échanges avec l’extérieur, il y a des oiseaux pour la forêt, des graines de plantes. Etc.  Ce principe assure la stabilité des systèmes naturels.

Autonomie énergétique a l’échelle du pays : l’objectif est une autonomie de 80%  a l’échelle du pays. Ce qui implique :

-Arrêt définitif du programme nucléaire : Beaucoup de centrales construite autour de 1975 arrivaient en fin de carrière, les autres étaient fermées progressivement.

-Arrêt immédiat du retraitement

-Recyclage immédiat des agents EDF a l’aide de stages en énergies renouvelables et économies d’énergie.

-Vaste programmes d’économies d’énergie.

-Mise sur le marché de petits diesels consommant de 3 a 5 litres d’équivalent pétrole, sans TVA pour une consommation inférieure a 5 litres puis 20% de TVA pour 6 litres, 40% de TVA pour 7 litres, 60% a 8 litres.

-Arrêt définitif des industries d’armements et reconversion en fabrication de .capteurs solaires

- Pas de TVA pour les travaux d’économies d’énergie, prêts sans intérêt remboursés par les économies d’énergie et par la mise en place des énergies renouvelables.

-Impôts locaux proportionnels a la consommation d’énergie.

-Arrêt progressif des emballages plastiques généralisation du recyclage du verre.

-Impôts sur la consommation d’énergie nécessaire a la fabrication et a la mise en marche.

Nous rappelons que les lignes on été écrites en 1983, a notre avis dans les grandes lignes les recommandations restent valables sauf pour les voitures ce serait plutôt 2 litres au cent qu’il faudrait viser , les transports en commun et les voiturettes électriques en ville et surtout veiller a ce qu’il n’y ait pas « d’effet rebond » autrement dit que la baisse de consommation ne soit pas largement dépassé par le nombre des voitures et par le nombre de kilomètres. Ainsi pour prendre un exemple la petite voiture de l’amie Fabienne est aussi puissante qu’une traction avant de 1955 et en plus elle va plus vite et consomme deux fois moins mais a l’époque seulement 50  voitures pour mille habitants circulaient contre 500 de nos jours.

L’énergie nécessaire a la fabrication est appelée énergie grise nous pouvons ajouter le transport, une  voiture par  exemple demande l’équivalent de trente mille kilomètres en énergie pour sa fabrication.  Ainsi les mise a la casse de 2008 et 2009 bien que permettant d’économiser 2 litres au cent kilomètres demandent au moins cent mille kilomètres pour réellement économiser bien plus si le moteur du véhicule mise a la casse était encore bon.  La taxation du transport plus la taxation de l’énergie grise  est un outil intéressant mais demandant une importante  pédagogie avant la mise en œuvre, hélas le gouvernement s’y risquant sautera et les adversaires feront tout le contraire.

Il faut avoir a l’esprit que 40 % de l’empreinte écologique est  constitué par se déplacer   et se loger et 60% pour se nourrir et pour consommer  c’est dire l’importance de la taxe kilométrique et de la taxe sur l’énergie grise. Néanmoins nous pensons que nous avons au double défit : le Pic pétrolier et du dérèglement climatique. Le Pic pétrolier est le moment ou la demande de pétrole deviendra plus forte que l’offre et la production va lentement décliner. On ne peut pas exclure le changement climatique pour autant donc les gaz de schiste, la liquéfaction du charbon, les agro carburants ne sont pas de bonnes solutions.

Rappelons qu’en 1983 les voitures diesels étaient considérées comme moins polluantes et que nous rentrions dans une période de refroidissement.

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