C’est une idée en vogue, et nous entendons également la citation suivante « les pays sous développés ont besoin de développement pas de nature ». Rien n’est plus faux, car c’est souvent dans les pays dits sous développés que la nature est plus fragile. L’écosystème forêt tropical ne donne qu’une vague prairie après la coupe des arbres, n’y a il pas d’autres choix que l’homme ou la nature ?
Nous remarquons que bien souvent l’homme et la nature ensemble sont malmenés, nous retrouvons ce lien dans des pays aussi divers que le Brésil, l’Ethiopie, la Somalie, l’ex URSS, le Pérou, le Zaïre ainsi que l’Irak, le plus souvent il n’y a pas a faire le choix entre « les arbres et les enfants » car les deux sont massacrés.
Les pays riches souvent respectent les arbres dans leur pays mais détruisent indirectement ceux des autres, se sont par exemple les multiples cultures d’exportations qui détruisent les forêts nous citerons le soja du bresil, il y a encore l’arachide, les bois exotiques.
La raison profonde de cette destructionest le productivisme au profil bas que nous expliquerons longuement un peu plus tard.
Cela ne s’est pas arrangé de nos jours car la Chine se rajoute à l’exploitation de l’Afrique noire, de plus s’ajoute les « biocarburants » comme l’huile de palme qui détruisent les forêts pour leur production, il n’est pas sur que le bilan de gaz carbonique ne soit pas négatif, c’est une politique de gribouille ou l’on détruit une forêt pour économiser le carbone, lequel est en grande quantité stocké dans les arbres.
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