Les problèmes mondiaux sont énormes et potentiellement explosifs. Guerre, famine, surpopulation, surexploitation des ressources naturelles, désertification, déforestation. Signalons également les pollutions et en particulier les pollutions par le soufre, ainsi que la diminution dangereuse de la couche d'ozone.
Ces changements écologiques ne sont pas sans conséquences pour les sociétés, il n'existe pas contrairement à ce que certains croient « Une écologie de riche » et une « Ecologie de pauvre » en effet la disparition de la végétation entraîne la disparition du sol puis des animaux et viennent les migrations des hommes.
Ce livre veut jeter un lien entre l'écologie et l'économie car la croissance continue n'est pas viable à long terme, d'une part notre système économique sans croissance s'écroule mais la croissance butte sur des réalités physiques régies par des lois écologiques.
Nos sociétés, si elles ne veulent pas disparaître seront obligées et le plus rapidement possible de mettre en avant l'écologie, question de survie
Nouvelles sociétés avec des lendemains qui chantent, sociétés parfaites et utopiques, certes pas mais société durable. L'économie a fait son temps et ne permet pas la survie à long terme, ce livre veut dénoncer l'utopie du libéralisme et d'un monde entièrement régulé par les lois du marché.
Ce livre est aussi un livre d'imagination et de fiction, science et son contraire, c'est un lien entre l'homme et la nature, entre la nature et la société, entre l'homme et la société.
Depuis cette époque (1993), les ravages du libéralisme sont plus que jamais d'actualité, par contre il y a eu une amélioration certaine en ce qui concerne la pollution de l'air, l'amélioration a aussi eu lieu avec l'arrêt ou la diminution de la couche d'Ozone, par contre il était fait très peu mention du changement climatique du a l'augmentation du taux de gaz carbonique dans l'air.
Remarquons aussi que les pollutions ont été exportées avec les de localisations massives. Notons aussi que les produits écologiques sont nettement plus chers et qu'à notre époque de « marketing vert » il faut être riche ou en tous les cas pas très pauvre pour être « écolo ».
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